Êtes-vous prêts ?
C’est la mise en garde de la généticienne, le Dr Alexandra HENRION CAUDE, à la page 10 de son livre de 2023
« Les apprentis sorciers »
Depuis la fin de la crise covid, on commence à recueillir beaucoup d’information sur les résultats des vaccins anti-covid, qui ne sont pas rassurants.
Ancien expert auprès de l’OMS, le professeur Christian Perronne, dans ses trois livres, a une position très critique sur la gestion de la crise sanitaire du Covid 19. Celui qui n’a jamais été interdit d’exercer, ni radié par le Conseil de l’ordre des médecins, ni jugé coupable de diffamation par un tribunal, persiste et signe dans son troisième livre. Il répond ici aux questions que tout le monde continue de se poser, mais que les « autorités compétentes » laissent en suspens :
- Pourquoi le Covid-19 est-il si résistant ?
- Les vaccins sont-ils tous aussi efficaces ?
- Avec le recul, quel est le vrai bilan de la politique sanitaire en France ?
- Pourquoi les polémiques ont-elles été aussi violentes ?
- Comment se sont comportés pendant cette crise les laboratoires pharmaceutiques mondiaux ?
- Sommes-nous condamnés à nous faire vacciner tous les 6 mois ?
- … Et 27 autres questions sans réponse !
Voici un autre livre que je viens de lire au titre accrocheur : « Les apprentis sorciers » publié en mars 2023 d‘Alexandra HENRION CAUDE, docteur en génétique. Elle a été interviewée dans :
- Sud Radio en mars 2023 : « Toutes les vérités sur le covid n’ont pas encore été dites !«
- Beur FM en mai 2023 : « Tout ce qu’on ne vous a pas dit sur l’ARN messager !«
- TV Libertés de mars 2023 : « Ce que l’on vous cache sur l’ARN messager – Dr Alexandra Henrion-Caude« .
Vu sa formation scientifique, elle mérite une attention particulière face à la critique habituelle de « complotiste » lancée à la face des « antivax« . Wikipédia, connu pour « critiquer » les complotistes de tout poil, lui a d’ailleurs, réservé un passage qui nous saute aux yeux, intitulé : « Désinformation pendant la crise du Covid-19 » que je vous invite à lire sur internet.
Au verso du livre, elle résume : « Je ne suis pas complotiste, mais généticienne, l’une des plus renommées d’après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu’est l’ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts?
Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux États-Unis en 2013, Alexandra Henrion Caude a dirigé plusieurs équipes de recherche en génétique à l’hôpital Trousseau, puis à Necker comme directrice de recherche de l’Inserm. Elle a découvert l’implication de l’ARN dans différentes maladies génétiques de l’enfant et a révélé l’existence des ARN MitomiR, qui servent aux régulations fondamentales de la cellule ».
Dans la note de l’éditeur, il est bien précisé à la page 7 : » … ce livre NE DOIT PAS ÊTRE considéré comme une INCITATION AU REFUS DE VACCINATION, mais comme une CONTRIBUTION A LA RÉFLEXION GÉNÉRALE sur ce sujet, qui est un point fondamental de santé publique. »
Si l’appât du gain de « Big Pharma » est répugnant, on est tout de même tous rassurés (s’il n’est pas démontré plus tard que l’Hydroxychloroquine & Azithromycine ou l’Ivermectine était une alternative existante et efficace pour moins cher) que des vaccins potentiels ont été opérationnels en un temps record (le fameux « fast-track » accordé par les autorités sanitaires américaines) grâce à une concurrence mondiale acharnée entre ces labos tout-puissants et surtout grâce aussi à l’esprit d’entreprise qui a animé la stratégie du président Trump (Operation WARP SPEED) : c’est Jean-Jacques Zambrowski professeur à l’Université Paris-Descartes qui le confirme.
D’ailleurs, c’est son adversaire politique Joe Biden qui l’a félicité le 20/12/2021 pour ce pari fou réussi. En outre, le 27 janvier 2022, on pouvait lire dans Yahoo! Finance l’article de Max Zahn with Andy Serwer « Trump’s Operation Warp Speed ‘very helpful’ for COVID vaccine development« . Rendons donc à César ce qui est César !
Les acteurs à but non lucratif, tel notre prestigieux Institut Pasteur, ont été dépassés par cette compétition mondiale pour l’excellence dans la synergie entre :
- les énormes moyens de financement public du gouvernement américain;
- la recherche très avancée des laboratoires privés tel MODERNA qui a permis à son PDG français Stéphane BANCEL de devenir multimilliardaire ($4,3 milliards selon FORBES à mai 2021; soit environ 400 milliards Xpf), grâce à appât du gain, cette étincelle magique qui permet de créer plus de PIB;
- et la productivité exemplaire du tissus industriel américain.
Mais les dernières données statistiques sur les effets secondaires du vaccin à ARNm contre la Covid-19, confirment que L’APPÂT DU GAIN (que je loue pour dynamiser une économie) a insidieusement permis d’exploiter la peur des gouvernements qui cherchaient à tout prix la protection d’un vaccin pour leur population respective ; c’est ce que démontre le Dr Alexandra HENRION CAUDE dans son livre « Les Apprentis sorciers« .
Pour ma part à 64 ans, j’ai été vacciné deux fois : le 22 mars 2021 et le 20 avril 2021, au vaccin Pfizer. Mais pour la première fois de ma vie :
- en mars 2023, j’ai eu une hémorragie sous-conjonctivale à mon œil gauche ;
- le 12 mai 2023, j’ai été admis aux urgences du CHPF avec plus de 21 de tension (ref dossier 80 220 517 clé de sécurité 6132). Après avoir fait un IRM, un scanner, une échographie et une analyse du sang, le diagnostic de mes médecins a été, on ne peut plus troublant : une inflammation ou douleur « inexpliquée » des nerfs au niveau de mon abdomen.
Ces deux incidents qui me gênent encore sont-ils liés aux deux vaccins? En tout cas, ils m’ont mis la puce à l’oreille et m’ont incité à faire plus de recherches sur les derniers résultats officiels de cette campagne de vaccination anti-Covid, à l’échelle mondiale :
- voir Sud Radio d’octobre 2023 avec la biostatisticienne Christine COTTON « Covid : où en sont les chiffres en 2023 ?«
- voir Sud Radio d’octobre 2023 avec le statisticien Pierre Chaillot « Covid 19 : ce que révèlent les chiffres officiels«
Maintenant que la crise de la Covid 2020-2021 est passée, Alexandra HENRION CAUDE commente dans son livre, faits et chiffres de sources fiables à l’appui, les premiers résultats qui commencent à me donner froid dans le dos …
Je ne suis pas médecin et encore moins un spécialiste qui prétend bien connaître les vaccins anti-covid. Je ne m’aventurerai donc pas à débattre sur la partie scientifique du sujet, mais je me cantonnerais plutôt aux faits flagrants et aux données statistiques.
Ayant été vacciné deux fois, j’espère sincèrement que le vaccin anti-covid de Pfizer s’avèrera sans danger pour ceux qui l’ont reçu, car il y a beaucoup de cas avec effets indésirables relatés dans le monde. D’ailleurs, à ce jour, ce débat scientifique est si controversé que le public en perd son latin : moi en premier !
Le contenu passionnant et explosif de ce livre, m’a convaincu de faire un résumé en réécrivant dans mes propres termes pour mieux mémoriser et suivre l’évolution de cette affaire très controversée.
Pour faire court et direct, ci-dessous une retranscription des passages clés du livre :
- Pages 9-10 : La presse l’a accusée de complotiste, d’extrême droite, intégriste et sectaire. Parce qu’elle a osé dire :
- qu’en 2020, ce qui aujourd’hui est de notoriété publique : les hommes sont responsables de l’apparition de ce virus; voir l’article de BFMTV du 01/03/2023 COVID-19: Le Directeur du FBI assure que le virus a « probablement » échappé à un laboratoire chinois.
- que les tests PCR ne sont pas sans risque et que c’est une folie de traiter des milliards de personnes saines comme si elles étaient malades
- Page 12 : Vu l’urgence mondiale, la période de 10 mois a été la durée entre l’objectif mondial formulé par l’ONU pour mettre au point le vaccin anti-covid et la première injection aux États-Unis. Or, aux pages 122-128, il est rappelé que les vaccins anti-covid commercialisés en 2020 n’ont pas respecté la procédure classique dont les tests doivent normalement durer 7 à 12 ans :
- La phase 1 qui dure 1 à 2 ans : injection du candidat vaccin sur quelques dizaines de patients pour évaluer la toxicité du produit
- La phase 2 qui dure 3 à 5 ans : injection du candidat vaccin sur quelques centaines de patients pour évaluer l’efficacité du produit
- La phase 3 qui dure 3 à 5 ans : injection du candidat vaccin à plusieurs milliers de patients dans le monde, pour confirmer l’efficacité du produit.
- Pages 14-15 : Tous les présidents, les chefs de gouvernement et les ministres de la Santé du monde entier nous ont donc répété à tue-tête que le vaccin était le messie. Vraiment ?
- Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? NON. Ainsi, le 10 janvier 2023 on recensait 296 936/jour de nouveaux cas de Covid dans le monde.
- Est-ce que le vaccin empêche d’attraper le Covid ? NON. Selon The Epoch Times du 11/11/2023, plus de 5 millions de vaccinés aux États-Unis en 2021, ont quand même été infectés de la COVID-19 : « More than five million COVID-19 cases occurred in vaccinated people in 2021, according to U.S. government files« .
- Est-ce que le vaccin empêche d’attraper de nouveau le Covid ? NON. Comme le prouve une étude publiée fin 2021 dans Science : sur 780 000 retraités de la Health Administration suivis aux États-Unis entre février et octobre 2021, la protection vaccinale est passée en moyenne de 86,9% à 43,3% sur cette période. Le directeur général de l’OMS a donc raison de déclarer dès le 23 novembre 2021 : « Si vous êtes vaccinés, vous risquez tout de même de contracter la maladie ».
- Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? NON
- Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? NON
- Page 16 : Selon l’étude la plus récente publiée par le New England Journal of Medicine, en juin 2022, qui a l’intérêt de comparer à la fois des non-vaccinés, des vaccinés sans rappel, et des vaccinés avec rappel : « Nous n’avons pas trouvé de grandes différences dans la durée médiane de l’excrétion virale entre les participants ». Autrement dit, vacciné ou pas, rappels ou pas, lorsque vous êtes porteur du virus, vous êtes possiblement contagieux … L’augmentation des cas de Covid n’est pas liée aux taux de vaccination. C’est ce que montre une analyse faite dans 68 pays. Face au variant OMICRON deux doses de vaccin, tout comme trois doses, ne sont pas efficaces, puisqu’elles n’empêchent pas l’hospitalisation, autrement dit les formes graves.
- Pages 17-18 : Quant à la transparence des résultats des vaccins, Pfizer n’avait pas l’obligation de les divulguer pendant 75 ans et 4 mois ! Il a fallu qu’un juge fédéral américain l’y oblige (page 103) pour découvrir des résultats d’effets secondaires assez alarmants provenant de données de pharmacovigilance des différentes autorités sanitaires :
- selon VAERS aux États-Unis (dont le nombre de cas d’effets secondaires serait sous-évalué dans leurs bases de données, selon une étude BMJ du 10/11/2023) :
- par rapport aux 10 années passées, 48 fois plus de décès, suite au vaccin anti-covid
- 30 000 morts
- 177 000 hospitalisations
- 135 200 urgences
- 10 000 chocs anaphylactique
- 58 000 handicaps permanents
- 52 000 myocardites
- 34 000 mises en danger de la vie
- 44 700 réactions allergiques sévères
- 16 000 crises cardiaques
- 15 000 zonas
- 9 000 problèmes plaquetaires de type thrombocytopénie
- 5 000 fausses couches en lien direct avec les vaccins Covid
- selon VigiBase VigiAccess de l’OMS :
- 10 fois plus d’effets indésirables que tous les effets secondaires obtenus contre la grippe en 50 ans
- plus de 11 millions de rapports d’évènements indésirables et plus de 70 000 décès qui ont été rapportés
- Victimes 2/3 femmes et 1/3 hommes
- âges 18 à 44 ans représentent 40% des victimes
- 1,7 million de troubles neurologiques : troubles cérébraux vasculaires de type AVC, thromboses veineuses cérébrales, des problèmes cognitifs et de mémoire de type Alzheimer, des troubles de neuropathie périphérique de type paresthésie, paralysie de Bell, épilepsie et convulsions et des neuropathies immunologiques de type syndrome de Guillain-Barré et de myélite transverse (page 24)
- selon VAERS aux États-Unis (dont le nombre de cas d’effets secondaires serait sous-évalué dans leurs bases de données, selon une étude BMJ du 10/11/2023) :
- Page 19 : Voici ce qu’a écrit un chercheur dans Virology Journal : « Récemment, The Lancet de juin 2022 a publié une étude sur l’efficacité des vaccins Covid-19 et le déclin de l’immunité avec le temps. L’étude a montré que la fonction immunitaire chez les personnes vaccinées, huit mois après l’administration de deux doses de vaccins Covid-19, était inférieur à celles des personnes non vaccinées. Selon les recommandations de l’Agence européenne des médicaments, des injections de rappel Covid-19 fréquentes pourraient avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire. Par mesure de sécurité, les rappels ultérieurs doivent être interrompus.
- Pages 20-21 : Une étude, parue le 31 août 2022 dans la revue Vaccine, évalue les effets secondaires graves dus au vaccin chez les adultes. Avec les statistiques de la Brighton Collaboration affiliées à l’OMS, il est présenté un risque accru de 16 % d’effets secondaires graves par rapport au groupe placebo. Ainsi, le rapport bénéfice/risque dans les données randomisées au moment de l’autorisation d’urgence était négatif ; c’est-à-dire que le risque d’effet secondaire grave était plus élevé que le bénéfice démontré.
- Pages 23-24 :
- Des troubles menstruels ont été détectés pour les femmes vaccinées avec ou sans rappel : 10% selon le ministère de la Santé en Israël et 65% selon une publication italienne dans Open medicine (février 2022).
- Selon les journaux JAMA pour deux d’entre elles et NATURE pour l’israélienne, des troubles cardiaques de type myocardites et péricardites ont montré un lien avec les doses de vaccins ARNm reçus par les hommes de 12 à 39 ans. Ce risque augmente non seulement en fonction du nombre de doses, mais aussi en fonction de l’âge. À titre d’exemple, deux doses de Pfizer multiplient par 133 le risque de myocardite chez les enfants de 12 à 15 ans. D’ailleurs, ce même problème est relaté dans Sud Radio d’octobre 2023 Pfizer : « Le vaccin ARNm contre la COVID-19 présente des risques accrus de myocardite/péricardite ».
- Les maladies démyélinisantes inflammatoires chez les patients ont été détectées juste après la vaccination (c’est mon cas 2 ans après, avec une inflammation ou douleur « inexpliquée » des nerfs au niveau de mon abdomen, voir supra), selon :
-
- Acta Neurologica Scandinavica mai 2021
- Cureus juin 2021
- Journal of Neurology 4 septembre 2021
- European Journal of Neurology octobre 2021 et 11 novembre 2021 : 57% des patients
- Page 25 : Cerise sur le gâteau : sur le site web de Pfizer, sur chacune de leurs pages apparaît un bandeau où est écrit : « Les vaccins n’offrent pas une protection totale chez les personnes qui les reçoivent et ne sont pas indiqués pour traiter l’infection ou en réduire les complications« . Donc avec le vaccin, on n’est pas totalement protégé, soit ! Mais, il ne traite pas non plus l’infection ? N’en réduit pas les complications ? Une seule question se pose alors : ce vaccin, il sert à quoi ?
- Page 27 :
- Le 12 septembre 2022, le docteur Rochelle Walensky directrice du CDC (agence du gouvernement américain chargée de la prévention, de l’étude et du contrôle des maladies), reconnaît publiquement dans une lettre que son agence a faussement affirmé surveiller la sécurité des vaccins dès 2021, alors qu’elle n’a commencé à le faire qu’en mars 2022.
- Depuis le 13 septembre 2022, le Danemark ne recommande plus la vaccination pour les moins de 50 ans.
- Depuis le 1ᵉʳ novembre 2022, la Suède ne recommande plus la vaccination pour les moins de 18 ans
- Depuis début septembre 2022, le Royaume-Uni ne recommande plus la vaccination pour les 12-15 ans. Faut-il croire que le risque est plus élevé que le bénéfice, pour les enfants ?
- Pages 29-38 : Chapitre 2 : L’ARN, c’est quoi ? Le contenu est assez technique :
- Nous sommes tous bâtis de molécules d’ADN et de protéines, en liaison avec la molécule d’ARN qui sert de régulation.
- L’ADN est stable et reste toujours dans le noyau (coffre-fort) des cellules et des mitochondries (centrales énergétiques).
- L’ARN est instable et plus vulnérable. Il se balade absolument PARTOUT dans notre corps, dedans et en dehors de la cellule, sur Terre, mais vraiment PARTOUT (p.32).
- L’ADN stocke, mais l’ARN cordonne et va PARTOUT dans le corps pour communiquer (avec l’ADN, les protéines et autres molécules d’ARN) et permettre ainsi à notre corps de fonctionner. On découvre à peine cette molécule géniale.
- Bref, dire qu’on connaît suffisamment bien l’ARN messager pour l’avoir utilisé dans les vaccins, est un MENSONGE. On n’avait pas le droit de dire qu’on savait ce qu’un vaccin ARN ferait à notre corps à long terme, ni même à moyen ou court terme.
- Pages 39-63 : Chapitre 3 : L’ARN, molécule géniale
- L’ARN porte en elle des promesses comme aucune autre molécule.
- Elle concentre tout le pouvoir d’agir sur l’ADN et de fabriquer les protéines.
- C’est un puissant outil de diagnostic de maladies. En général, on effectue un diagnostic à partir de la protéine malade (exemple « biopsie tissulaire » de la tumeur cancéreuse), en faisant une prise de sang. Pour prendre le problème à la racine, il vaut mieux établir un diagnostic à partir de l’ARN que de la protéine, car il faut d’abord l’ARN pour ensuite produire la protéine. En remontant au niveau de l’ARN, on augmente donc les chances d’accéder à la cause de la maladie, et non plus à ses conséquences.
- L’efficacité du diagnostic par notre salive qui contient notre ARN et celui de nos microbes. Fruit de trois glandes, la salive est le reflet de notre état nutritionnel, de notre stress, et de la santé de nos cellules (p. 42). Elle peut précocement indiquer la survenue d’un cancer ou de l’Alzheimer. C’est une sorte de réservoir pour les bactéries de nos intestins, de nos poumons. En cas d’infection par un virus, elle indique l’état clinique du patient.
- Dès août 2020, une méta-anlyse (revue de toutes les publications qui existent sur le sujet), montrait déjà l’utilité de se diriger vers la salive pour diagnostiquer la Covid-19.
- Déjà depuis le 15ᵉ siècle, la première chose faite par les médecins chinois, lorsqu’ils auscultent leurs patients, c’est de vérifier la langue et la salive pour en déduire l’état de santé.
- L’ARN, comme moyen de diagnostic, peut être étudié dans tous les fluides : urines, sperme, lait naturel, sueur et larmes.
- L’ARN est le maître de l’épigénétique (mot-valise de épigenèse et génétique) est la discipline de la biologie qui étudie la nature des mécanismes modifiant de manière réversible, transmissible (lors des divisions cellulaires) et adaptative l’expression des gènes sans en changer la séquence nucléotidique (ADN). Alors que la génétique correspond à l’étude des gènes, l’épigénétique s’intéresse à une « couche » d’informations complémentaires qui définit comment ces gènes sont susceptibles d’être utilisés par une cellule. L’hérédité dépend de deux facteurs :
- l’ADN
- et l’ARN qui peut TOUT FAIRE CHANGER à cause de l’INTERACTION des gènes avec l’environnement. Tout ce que nous vivons se traduit par une information épigénétique. Même ce que nous mangeons change notre épigénétique. Tout absolument Tout ce qui nous entoure modifie notre épigénétique.
- Un évènement traumatisant peut laisser des blessures psychologiques ; cette « promesse de mémoire » ne concerne pas que notre « psyché » mais également notre physiologie ou notre corps, grâce à l’ARN qui entre en jeu. Exemple : la famine provoquée par les Allemands en novembre 1944, Amsterdam : pour ceux nés durant cette période, une étude montre comme suit une santé fragile à l’âge adulte selon la survenance des carences survenues lors de l’état de grossesse de leur mère, à cause des modifications épigénétiques (p. 48) :
- 1ier trimestre de grossesse : problèmes d’obésité et de maladies cardiovasculaires
- 2ᵉ trimestre de grossesse : problèmes de maladies respiratoires
- 3ᵉ trimestre de grossesse : problèmes de tolérance au glucose
- Cette découverte a marqué un véritable tournant en 1995, en démontrant que l’hérédité n’est plus seulement psychologique, mais aussi physiologique grâce à « l’épigénétique ». Exemple : une mémoire du manque de nourriture qui passe de la mère à l’enfant, aura un retentissement sur lui tout au long de sa vie, à cause de l’hérédité « physiologique » = l’hérédité « intergénérationnelle » dont on sait, aussi depuis 2004, que cette transmission reposant sur « l’épigénétique » se fait également via le sperme du père (p. 49-50). Depuis peu, on sait que tout ce qu’on aura mangé 2,5 mois avant un rapport sexuel, affectera LA SANTÉ de ses spermatozoïdes, et donc de sa descendance si son partenaire tombe enceinte. Ainsi, la qualité du sperme humain (ses petits ARN) est extrêmement sensible à ce que nous mangeons et à notre mode de vie en général (p. 61-62).
- Moi qui ai été champion de Polynésie en cross country dans ma jeunesse, pourrais-je en déduire que j’aurais contribué génétiquement au succès sportif de mon fils Cédric Wane ! Auquel cas, quelle fierté !
- Par un mécanisme appelé « l’interférence par ARN », l’ARN régule et organise la production exacte de protéines dont notre corps a besoin.
- Quand un virus infecte une cellule (exemple le virus de l’hépatite C qui infecte le foie), il est capable d’utiliser ses petits ARN pour faire de l’interférence par ARN, en détournant le petit ARN humain (le mir-122) pour interférer avec son propre génome viral, et ainsi favoriser l’infection
- Pages 53 : L’ARN est un traitement
- Les maladies sont souvent dues à une protéine qui s’accumule anormalement (exemple le cancer), créant un déséquilibre.
- L’ARN utilisé comme un médicament a une précision exceptionnelle de guérison grâce à sa technique d’interférence par ARN
- Pages 57 : L’ARN, un futur coach?
- L’ARN est le ROI DU MONDE, et serait le MOTEUR DE LA VIE
- L’importance de l’environnement et ses divers stimuli expliquent les capacités de l’ARN
- Ce que nous consommons affecte l’état de notre corps ; exemple :
- quand on mange des noix pour se protéger de maladies cardiovasculaires : on retrouve deux microARN protecteurs
- quand on est non-fumeur : on retrouve 6 microARN protecteurs
- Les microARN des aliments consommés non digérés dans l’estomac se retrouvent dans notre sang et influencent notre santé génétique
- La tisane de chèvrefeuille contient le microARN miR291 qui nous protège contre la Covid-19
- Nos descendants (futures générations) seront aussi ce que nous avons mangé. Par exemple, il est démontré que l’obésité tend à faire baisser la qualité du sperme de l’homme (p. 62).
- Chapitre 4 : L’ARN molécule aux multiples inconnues 65-114
- L’ARN messager : c’est l’ARN qui est à la fois le « message » et son « messager ».
- La vie de nos cellules est ponctuée de grandes étapes qui sont des petits « big bang ». Il y a énormément de bouleversements en continu et à chacune de ces transitions, la cellule met en œuvre un vaste programme.
- Dans le noyau de nos cellules, l’ADN « réécrit » 60% (transcription) un nouvel ADN sous forme d’ARNm (correspondant à 1,2% de cet ADN soit environ 30 000 ARNm d’abord pour ensuite se proliférer à 180 000 ARNm et subir aussi les modififations causées par l‘épigénétique) qui va ensuite produire (traduction) de la viande (ou protéine).
- Aussitôt ces ARNm arrivés à « maturation » dans le noyau, ils sortent pour devenir 3 possibilités, selon les besoins du moment de notre corps :
- le stockage
- la dégradation
- la traduction en protéine
- L’ARN est un millefeuille d’information : à partir d’un groupe de lettres, la cellule va décider de la combinaison à retenir, en fonction des besoins du moment.
- un ARNm peut produire plusieurs types de protéines, avec des tailles et des rôles très différents : exemple des toutes petites protéines appelées des « micropeptides » qui vont servir à réparer l’ADN.
- L’ARNm : découvert en 1960 + 40 ans d’études et de tests pour en faire un médicament, mais sans aucune autorisation de mise sur le marché à l’an 2000.
- c’est le Dr Robert MALONE qui fut le premier en 1989 à injecter de l’ARNm dans des œufs de crapauds pour réussir à produire la protéine voulue (p. 71).
- d’où est venue l’idée d’utiliser l’injection d’ARNm pour remplacer la vaccination classique.
- de 2000 à 2021 les vaccins à base d’ARNm contre la Covid sont encore au stade de test
- mais en 2021, à la suite de la soudaine pandémie de la Covid-19, les États-Unis (suivis des pays européens) lancent finalement une large campagne de vaccination contre la Covid-19. Grâce à l’assouplissement de la règlementation permettant aux laboratoires d’accélérer leurs tests (le fameux « fast-track« ), Pfizer et Moderna durant leurs tests, passent de la phase 1 à 2 puis à 3 en un claquement de doigt.
- Albert BOURLA DG de Pfizer déclare dans le Washington Post le 10 mars 2022 (alors que les premières vaccinations à base d’ARNm avaient déjà démarré le 11 décembre 2020 aux États-Unis et le 27 décembre 2020 en France) : « La technologie ARNm n’a jamais délivré le moindre produit jusqu’à ce jour : ni un vaccin, ni aucun autre médicament » (p. 84).
- Page 85 : Quel est le principe des vaccins ARNm anti-Covid? C’est pour moi le passage LE PLUS IMPORTANT DE CE LIVRE; accrochez-vous !!!
- Tout d’abord quelle est la différence entre vaccin classique et vaccin ARNm
- pour le cas du Vaccin classique : on injecte un virus « atténué » ou un « bout de protéine de virus inactivé« , donc rendu « inoffensif ». Ensuite, notre corps qui détecte ces corps étrangers, fabrique immédiatement des anticorps contre eux. On dit que l’on est alors « immunisé » contre les maladies crées par ces corps étrangers. Mais depuis septembre 2021, le CDC a changé la définition du mot vaccin pour ne plus parler de l’immunité mais de « protection ». Observez le « flou scientifique » dans cette nuance !
- pour le cas du Vaccin ARNm : on injecte une « SOUCOUPE » dans laquelle on met l’ARNm. Le tout est synthétique.
- La SOUCOUPE est une nanoparticule lipidique (NPL). Comme un « suppositoire gras » la NPL permet à l’ARNm de pénétrer la membrane des cellules tout en augmentant leur temps de circulation dans notre corps (p. 98)
- Cette SOUCOUPE échappe donc à la surveillance de notre système immunitaire chargé de fabriquer immédiatement les anticorps, puisqu’il ne détecte plus les corps étrangers que sont les virus.
- La SOUCOUPE incluant l’ARNm, fusionne alors avec nos cellules qui se transforment d’un coup en une USINE À PRODUIRE ce que l’ARNm vaccinal nous force à produire. Nos cellules sont ainsi REPROGRAMMÉES, car l’information de cet ARNm synthétique est conçue pour S’IMPOSER ET ÊTRE EXÉCUTÉE avec une forte productivité.
- C’est comme une clé USB qui au branchement, donne des ordres à nos cellules pour fabriquer LES PROTÉINES VOULUES.
- Pour ce qui est du vaccin Covid-19, l’ordre est donné de FABRIQUER LA PROTÉINE DU VIRUS « NON ATTÉNUÉE« appelée « SPIKE« . D’où CETTE PROTÉINE DU VIRUS, SPIKE n’est pas « INACTIVEE » comme pour le cas du vaccin classique ; voir supra (p. 87)
- Voici donc la situation TOTALEMENT INÉDITE dans toute l’histoire des vaccins :
- Normalement pour le vaccin classique, on injecte un virus « inactivé » ou suffisamment ATTÉNUÉ pour être combattu par les anticorps produits par notre système immunitaire.
- Pour le vaccin ARNm :
- on reprogramme nos cellules pour produire en nous le SPIKE ou la PROTEINE DU VIRUS « NON ATTÉNUÉE »
- et on s’attend à ce que nos mêmes cellules puissent produire des anticorps contre le SPIKE qu’elles ont eux-mêmes produites !!!
- donc qu’est-ce qui empêcherait nos systèmes de défense immunitaire d’attaquer NOS PROPRES CELLULES qui produisent le SPIKE? RIEN !!!! (p.87)
- on est donc dans une situation INÉDITE où c’est NOTRE PROPRE SYSTÈME DE DÉFENSE QUI VA ATTAQUER NOS PROPRES CELLULES QUE LE VACCIN ARMm a PROGRAMMÉES POUR FABRIQUER LE SPIKE.
- En clair, avec le vaccin ARNm on risque de déboucher sur une AUTODESTRUCTION partielle de notre corps et être atteint de MALADIES AUTO-IMMUNES.
- Rappel :Les maladies auto-immunes sont des maladies chroniques dues à un dérèglement du système immunitaire qui s’attaque aux constituants normaux de l’organisme. Elles représentent le 3e groupe de maladies en France, après les cancers et les maladies cardio-vasculaires ; on estime qu’elles touchent environ 5 millions de personnes en France.
- Malheureusement, pour les patients souffrant du cœur après le vaccin ARNm : on a retrouvé sur la paroi musculaire du cœur (le myocarde) la protéine SPIKE avec nos cellules immunitaires : c’est la signature d’une RÉPONSE AUTO-IMMUNE (p.88)
- Le choix du SPIKE n’était pas bon car le virus de la Covid-19 MUTE en permanence. Donc le vaccin nous fait produire des anticorps « périmés » face aux nouveaux variants
- Le patron de MODERNA a déclaré sur CNN business le 11/08/2022 : « Alors que la Covid-19 CONTINUE DE MUTER; Moderna devra continuer à mettre à jour les vaccins.«
- Le SPIKE a la capacité inquiétante de se retourner contre nous (p.89). Avant sa « disparition théorique » de notre corps, le SPIKE peut provoquer d’autres effets secondaires :
- inflammation typique des maladies cardiovasculaires au niveau des vaisseaux sanguins et a entrainé en plus la formation des caillots (p.89).
- réactivation des séquences du virus dans nos globules blancs pouvant déclencher :
- cancers
- sclérose en plaques
- maladies neurologiques : schizophrénie, polyarthrite rhumatismale
- diabète de type 1
- formation d’agrégats (des compilements) de type Amyloïde ou dépôts responsables de certaines démences telle la maladie d’Alzheimer (p.90)
- Quelle est la durée de vie de l’ARNm dans les flacons avant injection ? : ON NE SAIT PAS (p.93)
- Quelle est la durée de vie de l’ARNm dans notre corps? ON NE SAIT PAS (p.95)
- Quel est le trajet dans notre corps de ces SOUCOUPES ARNm injectées par le vaccin ARNm ? (p.97) ON COMMENCE À PEINE À DÉCOUVRIR le trajet de ces SOUCOUPES ARNm dans notre corps ! On les retrouve un peu partout dans notre corps et on ignore quand elles seront censées être détruites.
- Page 101 : est-ce que les ARNm sortent de notre corps? La molécule ARNm artificielle (celle qui est injectée par les vaccins) se propage dans le corps, et peut se retrouver là où elle ne devrait pas l’être, comme dans le lait maternel. Est-ce un danger pour notre santé ? ON NE LE SAIT PAS RÉELLEMENT!!
- Page 105 : Sommes-nous génétiquement modifiés (OGM) ?
- Contrairement à ce qu’on nous a dit, OUI les vaccins ARNm PEUVENT ALTÉRER NOTRE ADN
- À partir du moment où notre PATRIMOINE GÉNÉTIQUE EST AUGMENTÉ ou modifié par le vaccin à ARNm, sans connaître les IMPACTS GÉNÉTIQUES, comment peut-on dire que ce vaccin ARNm ne nous modifie pas génétiquement (p. 106).
- Selon Tal Zaks médecin-chef de Moderna (Tedx 2017), la technologie révolutionnaire d’ARNm pirate en fait le « logiciel de la vie« .
- Dans chaque cellule, il y a l’ARNm qui transmet les informations critiques (à travers des lignes de code) de l’ADN dans nos gènes vers LA PROTEINE qui est vraiment ce dont NOUS SOMMES TOUS FAITS.
- Donc quand on change les lignes de code de notre ADN, on change forcément ce que fera la cellule.
- Le GÉNOME = l‘ensemble du matériel génétique d’un organisme = LIVRE DE LA VIE de chaque organisme
- Le GÉNOME sert à instruire les fonctions indispensables à la vie. Par un gros travail de coordination de groupes de traitements d’information génétique, il PROGRAMME les 3 fonctions principales de la vie d’un organisme (p. 107) :
- le DÉVELOPPEMENT : le fait de passer :
- de cellule-œuf à
- embryon à
- fœtus à
- bébé à
- enfant à
- adolescent à
- adulte enfin
- le MAINTIEN : c’est le fait de vivre ou de rester en vie !
- la REPRODUCTION : c’est le fait d’avoir des enfants
- le DÉVELOPPEMENT : le fait de passer :
- Notre génome INTERAGIT avec d’autres génomes provenant d’autres organismes comme les VIRUS dont un « BOUT DE LEUR GÉNOME » peut venir nous INFECTER en pénétrant le NOYAU DE NOS CELLULES.
- Les VIRUS sont faits d’ADN ou d’ARN qui peut se transformer par une « TRANSCRIPTION INVERSE » pour réécrire l’ARN en ADN ! C’est ainsi que cet ADN nouveau du VIRUS va pouvoir S’IMMISCER DANS LE NOYAU DE NOS CELLULES SAINES ET S’INTÉGRER MALICIEUSEMENT A NOTRE GÉNOME, pour nous rendre malades ! (p.108)
- Aujourd’hui, on estime qu’environ 8% de notre GÉNOME est fait de ces SÉQUENCES DE VIRUS (capable d’envahir notre GÉNOME) que l’espèce humaine a hérité de l’histoire de ces rencontres avec des VIRUS.
- Il a été démontré que DES SÉQUENCES OU BOUT D’ARN DU SARS-CoV-2 peuvent s’intégrer au GÉNOME de cellules humaines en culture (ie. in vitro) p. 109.
- Donc OUI, l’ARN vaccinal peut INTÉGRER NOTRE GÉNOME ET MODIFIER AINSI NOTRE DESCENDANCE ! p 110
- un étude de septembre 2022, révèle qu’on a retrouvé la PROTÉINE SPIKE avec son ARNm artificiel ou vaccinal dans le NOYAU ou COFFRE-FORT de la cellule humaine des vaccinés… ON IGNORE TOUT DES CONSÉQUENCES !
- Pourtant la CDC nous avait bien assurés que les vaccins à ARNm contre le Covid « ne changent ni n’interagissent avec notre ADN de quelque manière que ce soit » FACT: COVID-19 vaccines do not change or interact with your DNA in any way.
- Il est ABSOLUMENT FAUX de dire que les VACCINS à ARNm ne peuvent pas altérer notre ADN ! p. 111
- qui dit GÉNOME Touché dit SOUVENT CANCER ! p.112
- car on doit absolument protéger LA MOLÉCULE LA PLUS INTIME QUI SOIT : NOTRE ADN, NOTRE GÉNOME, NOTRE PATRIMOINE GÉNÉTIQUE p. 113
- Autre suspicion : La Croix-Rouge américaine chargée de la transfusion sanguine aux États-Unis a annoncé dans un Tweet le 19 avril 2021, qu’elle n’utilise que le SANG DES NON-VACCINES !!! Bizarre .. p. 114.
- Tout d’abord quelle est la différence entre vaccin classique et vaccin ARNm
- Page 138 : Il n’y a aucune étude scientifique prouvant les bienfaits des vaccins à ARNm sur la santé des enfants qui, d’ailleurs, ne sont absolument pas touchés par ce virus. D’après la CDC, après avoir reçu une ou deux doses de Moderna ou de Pfizer, environ 10% des tout-petits voient leur santé affectée. Kathrin Janssen, directrice recherche et développement vaccins chez Pfizer, confessait le 11 novembre 2022 dans la revue Nature, juste après avoir quitté son poste : »Nous pilotions l’avion pendant que nous étions encore en train de le construire« .
Conclusion :
Certes, tous ces effets secondaires cités NE PROUVENT PAS UNE RELATION DE CAUSE A EFFET avec les vaccins anti-Covid. Mais, cela fait quand même beaucoup trop d’anomalies médicales relevées dans le monde. Si tout ce qui est dit dans ce livre est vrai, car confirmé par des sources scientifiques officielles, alors comment donc la généticienne Alexandra HENRION CAUDE serait-elle complotiste ?
Dans son interview à Beur FM en mai 2023 : « Tout ce qu’on ne vous a pas dit sur l’ARN messager ! » au chrono 31:30, elle cite un communiqué officiel de la Haute Autorité de la Santé (HAS) qui déclare que le personnel de la santé publique suspendu pour avoir refusé d’être vacciné, sera réintégré au motif, entre autres, de « la faible efficacité de la vaccination contre l’infection et la transmission » du virus de la Covid-19. C’est sa preuve de l’échec flagrant de toute cette campagne de vaccination contre le Covid19 !
Voici un livre que je souhaite lire « Lies my Gov’t told me« – décembre 2022, du Dr Robert MALONE, biologiste moléculaire américain, inventeur du vaccin à ARN. J’attends de le recevoir pour diversifier mes sources.
Sans surprise, on pouvait lire sur Wikipédia accédé le 02/11/2023 : » le Dr MALONE travaille sur l’ARN messager dans les années 1980 et découvre que celui-ci peut pénétrer des cellules humaines et les conduire à produire des protéines, une découverte liée au développement ultérieur des vaccins à ARN. Pendant la pandémie de Covid-19, il diffuse des informations fausses à propos de l’efficacité et de la sureté des vaccins contre le Covid-19, et milite contre leur utilisation. Ses propos sont largement relayés, notamment par des personnalités complotistes ou antivaccins.
Source compte X du Dr Robert Malone 02/10/2023 qui revendique être le «vrai» inventeur des vaccins à ARN messager
Trois autres livres m’ont interpellé.
En premier, celui de Christine COTTON, « Tous vaccinés, tous protégés? – Vaccins covid-19, Chronique d’une catastrophe sanitaire annoncée » – 8 juin 2023. Elle est interviewée sur TVL en octobre 2023 : « La vérité sur les essais Pfizer – Le Zoom – Christine Cotton – TVL« .
En deuxième, celui du statisticien Pierre Chaillot « COVID-19, ce que révèlent les chiffres officiels » octobre 2023.
En France, comme dans tous les autres pays européens, la mortalité de l’année 2020 standardisée (c’est-à-dire étudiée par tranches d’âges et non pas en données brutes) est au niveau de celle de l’année 2015 soit la septième année la moins mortelle de toute l’histoire de France. Quant à la mortalité de l’année 2021, elle au niveau de celle de 2018, la troisième la moins mortelle de toute l’histoire de France.
Les chiffres présentés par les médias et les organes publics sont partiels et tronqués, aussi bien pour la mortalité que l’activité hospitalière ou l’efficacité vaccinale. Il expose dans ce livre la totalité de ses recherches pour qu’enfin un débat scientifique serein puisse avoir lieu sur cette crise dont les conséquences sont loin d’être derrière nous ».
Dans une vidéo Youtube de juin 2023 « Pfizer : scandaleuses révélations sur l’essai clinique » Pierre Chaillot interroge Christine COTTON. Cette dernière décrit les anomalies constatées lors des essais cliniques Pfizer qui n’ont pas respecté les protocoles appelés « les bonnes pratiques« .
En dernier, celui de Jean-Michel JACQUEMIN-RAFFESTIN « Ne leur pardonnez pas ! Ils savent très bien ce qu’ils font » Septembre 2022 ; voir également dans Sud Radio de janvier 2023 « Covid-19-Le livre choc de J.M. Jacquemin-Raffestin sur « la pandémie la plus manipulée de l’Histoire« .
Affaire à suivre…