Le coup d’Etat foireux tenté contre le président Donald TRUMP par le trio « Parti Démocrate – État profond – Principaux médias de masse »
Si on considère un coup d’État comme un renversement du pouvoir de façon illégale, alors je vous invite à vous intéresser de plus près à ce qui se passe dans la vie politique aux États-Unis depuis l’élection de Donald Trump en novembre 2016. Pour ce faire, il faut aller puiser directement aux sources d’information contrôlées par les principaux conglomérats monopolisant les médias aux États-Unis : abc news, ESPN, Vice, CBS CNN, HBO, Time, Life, NBC, CNBC, MSNBC, Xfinity, Fox News, The New York Times, The Washington Post.
À mesure que des documents secrets du FBI sont dévoilés au public sur instruction du procureur général actuel des États-Unis William Barr nommé le 14 février 2019 par le président Trump, un scandale politico- judiciaire commence à émerger dans le débat politique aux États-Unis. Il s’apparente de plus en plus à une « tentative de renversement » du président élu Trump. Certains commentateurs politico-judiciaires parlent même d’une tentative de « coup d’état foireux » par un « trio anti-Trump » atteints du « syndrome du dérangement Trump » (Trump derangement syndrome). Il a été :
- initié par les Démocrates (DNC), les adversaires politiques de Trump ;
- renforcé par l’État profond (« Deep state »), les fonctionnaires carriéristes (en l’espèce les haut-responsables de la CIA, du NSA et du FBI dénoncés par le journaliste Matt Taibbi : Yes, The Deep State Does Exist, And It’s LIBERALS Who Are Doing Its Bidding – The Hill 21/10/2021) qui ont un véritable pouvoir d’inquisition ; ils défient souvent le pouvoir en place, comme ce fut le cas durant la présidence Trump. Edgard Hoover, ancien patron du FBI vu comme un « ripou » par certains, fut la personnification de ce pouvoir d’enquête vexatoire entachée d’arbitraire qui a effrayé tant de précédents présidents. Pour avoir une meilleure idée de ce qu’est « l’État profond » (Deep state), je vous invite à visionner une vidéo sur Youtube intitulée » L’État profond : main basse sur la démocratie« qui est un entretien entre deux essayistes français Charles Gave et Hervé Juvin. La référence intellectuelle française, Michel Onfray, a une version différente et originale en incriminant le « Capitalisme » qui, avec « la main invisible » d’Adam Smith, viserait à contrôler le monde (Sic!). On est très loin de la vision pragmatique du professeur Kishore Mhabubani qui démontre que les principaux pays d’Asie ont réussi à rehausser le niveau de vie de leur population en copiant le système capitaliste de l’Occident (voir la vidéo Tedx du 22/09/2019);
- et entretenu par les principaux médias de masse progressistes anti-Trump (the mainstream liberal media), traités d’ennemi du peuple par le président Trump.
Oui, imaginez donc le trio ci-dessus qui a essayé depuis 2015 de prouver la « folle idée » que Donald Trump et ses collaborateurs politiques ont conspiré avec Poutine pour gagner les élections présidentielles de novembre 2016. Trump était, en quelque sorte, un espion russe à la botte de Poutine ! Quel coup d’audace pour tenter de descendre un adversaire politique, alors que l’Administration Obama a toujours juré ne pas politiser l’appareil judiciaire qui doit rester indépendant (voir le diagramme ci-dessous).
L’économiste jésuite Gaël Giraud dans une interview avec Thinkerview du 27/09/2020, au chrono 03:20, s’aventure pour accuser que Poutine aurait bien contribué à l’élection Trump. Pourtant, il est de notoriété publique que le procureur spécial Rober Mueller dans son fameux rapport (qui s’est révélé en 2020, s’apparenter de plus en plus à une chasse à l’homme visant Trump) a conclu le 18 avril 2019 dans les termes suivants : on ne peut pas conclure que le Président Trump a commis un crime, cependant cela ne signifie pas qu’il a été disculpé (Sic !) : « it does not conclude that the President committed a crime »; however, « it also does not exonerate him » ; ou encore « we can’t conclusively determine he did not committed obstruction of justice« . Par ce coup d’épée dans l’eau, le procureur spécial Mueller commet une erreur juridique fondamentale :
- Il tord le cou au principe sacré de la présomption d’innocence en invitant le Président à prouver son innocence ; ce qui est un renversement de la charge de la preuve.
- Il n’a pas l’autorité, en tant que « special counsel« , d’innocenter le Président. Ce n’est pas de sa compétence. Il devait simplement démontrer si le Président avait bien commis un crime qui d’ailleurs n’a jamais été prédéfini au départ pour légalement justifier la mise en place d’un « special counsel« .
Suite à l’enquête infructueuse de Robert Mueller, une autre enquête criminelle a été lancée en avril 2019 par le procureur spécial John Durham pour déterminer maintenant ceux qui ont fomenté cette fausse accusation contre Trump « russiagate ». A octobre 2021, Michael Sussman, avocat de la campagne politique d’Hilary Clinton est le deuxième (après l’avocat du FBI Kevin Clinesmith le 14/08/2020) à être mis en accusation (Indictement) par John Durham; d’autres personnes sont visées.

Source : Coopération concept
J’ai eu la passion de suivre avec délectation le parcours tumultueux de l’odieux et l’infatué Donald Trump depuis son élection en Novembre 2016. Malheureusement, ce que je compte raconter en détail, n’apparaît pas dans les principaux médias français; c’est le fameux concept de « biais de confirmation » enseigné par les spécialistes en sciences cognitives.

Il faut donc croire qu’en général la presse en France ne fait que relayer systématiquement l’information produite par les « principaux médias de masse » américains anti-Trump. C’est dommage pour la diversité de l’information, l’antidote d’une « presse trop monolithique » encore dénoncée récemment par la respectable journaliste Bari Weiss qui vient de démissionner du New York Times.
C’est pourquoi, je souhaite partager ce que j’ai découvert avec stupéfaction, en suivant de près le débat politico-judiciaire aux États-Unis. Pour contourner cette presse que je juge un peu trop monolithique et anti-Trump, j’ai beaucoup puisé mes informations directement dans des vidéos YouTube, une « plateforme d’information » où les personnes concernées interviennent directement. Cette approche m’a permis d’éviter d’apprendre l’information à travers le prisme d’un média qui a ses propres préjugés, surtout en cette période où Trump cristallise le « politiquement correct » dans le débat politique. Par exemple, pour mieux juger Trump je ne me baserai jamais sur une version de Jim Acosta ou de Don Lemon, tous deux journalistes anti-Trump notoires de CNN (voir à l’article 2/6 : graphique intitulé « Tone of Trump news coverage« ).
En revanche, une de mes sources fiables et préférées, est le professeur de droit de Harvard University, Alan Dershowitz auteur du livre « Get Trump » paru en mars 2023. Alan est très connu aux États-Unis pour être un farouche Démocrate, fier d’affirmer qu’il n’a jamais voté pour Donald TRUMP. Alan est d’ailleurs aussi, la source préférée de Charles GAVE, essayiste que je cite souvent dans mes articles : voir la vidéo « Charles Gave « Joe Biden est corrompu jusqu’à l’os, on a les preuves ! » de Sud Radio au chrono 02:00.
Rapidement sur les faits :
- Le 16 juin 2015 Donald Trump déclare sa candidature aux élections présidentielles de novembre 2016
- Le 7 juin 2016 contre toute attente un an après, Donald Trump gagne les primaires des Républicains
- Avril-juin 2016 l’adversaire démocrate Hillary Clinton recrute discrètement une société (Perkins Coie payée 1,5 milliards xpf) pour essayer de « traîner Trump dans la boue » ; ce qui est courant dans la vie politique américaine avec les études appelées « opposition research« , en l’espèce le « Steele dossier » du nom de son auteur Christopher Steel un agent secret britannique retraité du Secret Intelligence Service ou Military Intelligence, section 6 (MI6). Le FBI utilise ce Steele dossier (en sachant très bien que son contenu politique était biaisé) devant la Cour FISA (qui est une cour spéciale qui autorise l’espionnage) pour demander l’autorisation (mandat) d’espionner le candidat Donald Trump et ses collaborateurs politiques.
- En 2020, on commence à découvrir le « pot aux roses » que certains décrient d’Obama Gate. La campagne politique de Trump a bien été espionnée par des agents fédéraux sur une base totalement fallacieuse. On peut donc en déduire que c’était dans un but inavoué de renverser politiquement Trump. Cette opération d’espionnage a démarré en Italie vers la fin de 2015 (voir l’article 3 qui suivra).
Senate Majority Leader Mitch McConnell (R-Ky.) a rappelé que la Constitution américaine donne au président les pleins pouvoirs pour recruter, diriger et remercier tous ceux qui font partie de l’Exécutif dont les principaux directeurs des grands services de renseignements américains tels le FBI, la CIA, la NSA et le DNI. Le législateur a doté ces services d’un pouvoir « exorbitant » d’investigation et de poursuite. Par exemple, le FBI et un procureur spécial (tel Robert Mueller) lors de leurs interrogatoires peuvent vous menacer de représailles contre un membre de votre famille pour vous faire avouer des faits non-avérés. Pour éviter un long procès qui vous ruine en honoraires d’avocats, souvent vous acceptez d’être un bouc émissaire coupable. C’est une pratique d’investigation qui est courante aux Etats-Unis.
L’Administration Obama qui arrivait en fin de mandat en novembre 2016 (ayant décidé avec certainement la complicité d’Hillary Clinton et du DNC, d’accuser Trump et ses collaborateurs d’avoir conspiré avec les espions russes pour gagner l’élection présidentielle de novembre 2016), a donc autorisé « secrètement » les services de renseignement (FBI, CIA, NSA, DNI) à espionner la campagne politique de Trump jusqu’en Angleterre, en Italie, en Russie, en Ukraine et en Australie. Seulement voilà, ces mêmes services de renseignements qui avaient prévu une victoire écrasante de Hillary Clinton pour pouvoir ensuite « étouffer » leurs manœuvres très contestables sur le plan juridique, devaient maintenant rendre compte au nouveau président élu Trump.
Or, grâce à la stricte indépendance du pouvoir judiciaire aux États-Unis (voir ci-dessous l’organigramme de leur séparation des pouvoirs où le Judicial Branch est séparé du Président et les 10 vidéos pédagogiques de PragerU Understanding the Constitution: A 10-Part Series), les services de renseignement (FBI exclusivement pour les affaires intérieures, CIA exclusivement pour les affaires étrangères, NSA, DNI) bien qu’ils dépendent directement du président ont non seulement caché qu’ils ont espionné leur nouveau patron depuis 2015 mais ont poursuivi leurs enquêtes durant son mandat, avec le renfort incessant des grands médias de masse progressistes anti-Trump. Cette collusion du trio anti-Tump (Presse-Services de renseignement-Parti Démocrates) est maintenant dénoncée par le journaliste Glenn Greenwald démissionnaire du site d’information The Intercept qui a censuré son article sur la corruption des Biden à cinq jours de l’élection présidentielle !

Plus en détails concernant les contentieux, ci-dessous un organigramme synthétisant la hiérarchie des tribunaux aux États-Unis. Donc tous ceux relatifs aux diplomates et au pouvoir réel du président Trump relèvent directement de l’autorité de la Cour Suprême des Etats-Unis.

Maintenant que le « supposé espion russe » Trump aurait été élu grâce à la complicité de Poutine, le but inavoué du « trio anti-Trump » était de le renverser politiquement ; un scénario digne d’un thriller qui ne se termine pas comme prévu par les anti-Trump !
Le comble, Trump, sachant en son for intérieur qu’il était victime d’un complot bien orchestré par ses détracteurs, ne pouvait pas intervenir bien que la Constitution lui donne les pleins pouvoirs pour dénoncer cette mascarade grotesque. En effet ce faisant, il risquait d’être destitué (voir la procédure d’impeachement) pour délit d’entrave à l’exercice de la justice ou « d’obstruction à la justice » (comme pour l’ancien président Bill Clinton dans sa relation avec Monica Lewinsky). C’était le serpent qui se mordait la queue !
Le président Trump aura donc supporté des enquêtes politico-judiciaires toujours en cours depuis son élection en novembre 2016. En résumé, c’est un président démocrate sortant (Obama) qui a utilisé les services de renseignements (FBI, CIA, NSA, DNI) avec certainement la complicité du parti démocrate (plus spécifiquement Hillary Clinton) et le soutien des grands médias de masse progressistes anti-Trump, pour espionner un opposant politique républicain (Trump), et cela même après qu’il ait été élu démocratiquement. En fait, c’est le président entrant qui est espionné (mis sous écoute téléphonique par l’Administration Obama) à son insu malgré des faits le disculpant et qui est mis sous enquête judiciaire par ses propres services subalternes de renseignements !
Les faits réels que je vais vous relater par la dichotomie entre les anti-trump et les pro-Trump, vont vous surprendre. C’est un « coup foireux » qui se termine mal pour ceux qui l’on pernicieusement concocté. Une vaste contre-enquête judiciaire (investigate the investigators ou « the hunters hunted » comme certains le disent ironiquement) menée par le procureur des États-Unis John Durham est sur le point d’être terminée et divulguée au peuple américain.
Toute cette affaire a commencé lorsque le représentant républicain de la Californie Devin Nunes a découvert ce pot aux roses. Il est devenu pour les anti-Trump (le parti Démocrates & les principaux médias de masse) l’homme politique à abattre !

Ci-dessous quelques livres traitant de ce sujet que la presse française en général n’en n’a pas fait ses choux gras.








Je ne suis pas un grand fan du personnage Trump, très imbus de sa personne. Lors du lancement de sa campagne présidentielle le 16/06/2015, il a déclaré qu’il sera le plus grand président créateur d’emplois que Dieu ait créé (Sic !) : I will be the greatest jobs president that God ever created. Mon principal propos ici est de montrer que ce qui lui est arrivé, est du jamais vu. Certains disent que l’on a frôlé une situation de renversement politique similaire à l’assassinat le 14 avril 1865 d’Abraham Lincoln, comploté par les confédérés.
Selon l’actuel procureur général des Etats- Unis William Barr, pour la première fois dans l’histoire politique des États-Unis, les services de renseignements et les moyens de la police fédérale ont été utilisés pour espionner une campagne présidentielle (celle de Trump de novembre 2016), « sans motif juridique réel et sérieux« . Les quatre agents du FBI qui ont enquêté en janvier et mars 2017 sur la source primaire du dossier Steele (prétendue russe mais finalement d’un résident américain Igor Danchenko, voir à l’article 6), avaient déjà conclu que c’était en fait un canular tiré d’une conversation dans un bar en dehors des États-Unis. Malgré cela, le FBI a continué à mentir à la Cour de Surveillance du Renseignement Étranger des États-Unis (FISA) afin d’obtenir des mandats pour espionner la compagne politique de Trump : c’est l’affaire Carter Page qui jouera un rôle central dans cette intrigue (voir l’article n° 6/6).
Une étape historique de la vie politique américaine est donc en train de s’écrire.
Vous en serez médusés.
Sommaire des articles du dossier :
- Le coup d’État (1/6) : Le coup d’état tenté contre le président Donald TRUMP
- Le coup d’État (2/6) : Le trio anti-Trump : une force de frappe synergique inouïe
- Le coup d’État (3/6) : ACTE I : Le dessous des cartes, de 2015 jusqu’à l’élection présidentielle du 8 novembre 2016
- Le coup d’État (4/6) : ACTE II : L’élection de Trump arrive comme un cheveu dans la soupe : l’intrigue durant la période de transition et de passation de pouvoir de la présidence du 8 novembre 2016 au 20 janvier 2017
- Le coup d’État (5/6) : ACTE III 2017-2018 : Les enquêtes politico-judiciaires qui ont empoisonné le présent mandat présidentiel de Trump
- Le coup d’État (6/6) ACTE IV 2019-2020 : Le pot aux roses visant à renverser politiquement Trump et l’enquête criminelle du procureur fédéral (United States Attorney ou federal prosecutor) John Durham